L’anxiété chez le chat

L’anxiété chez le chat

Chez le chat, comme chez tout être vivant, l’anxiété peut revêtir plusieurs formes, et présenter différents symptômes.

L’anxiété généralisée, est un état de crainte et de stress quasi permanent avec anticipations de désagréments et de dangers.
Les signes peuvent être:
-comportements de défense
-signes de détresse tels que vocalisations ou aggripements à une figure d’attachement
-Hypperréactivité
-Hypervigilance
-Timidité, méfiance
-Activités de substitution
-Augmentation du marquage
-Augmentation de la malpropreté….

L’anxiété de dé-ritualisation interspécifique est observée lorsqu’un chat a perdu ses rituels sociaux apaisants avec une personne.
Les signes sont:
-Le chat n’initie plus les interactions sociales
-Il tente de rester seul
-Agression de distancement
-Signaux de communications ambivalents
-Marquage urinaires
-Dermatite ou alopécie de léchage

L’anxiété liée à une condition médicale peut aussi être notée chez certains chats.

L’anxiété de cohabitation est aussi observée par:
-Méfiance
-Escarmouches
-Obsession

L’anxiété en milieu clos est à noter lorsque le chat ne peut accéder à un extérieur:
-Comportement de prédation
-Hyperactivité
-Agression de défense
-Hyper-vigilance
-Salivation, diarrhée, vomissements….
-Tressaillements de la peau
-Activation du marquage
-Transpiration des pattes ou vidange des sacs anaux.

Bien entendu d’autres signes et formes d’anxiété existent.

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Bien préparer l’arrivée de son chiot

Avant son arrivée

Votre chiot n’est pas encore chez vous et vous avez déjà envie de dévaliser l’animalerie du coin pour lui acheter tout ce dont il aurait besoin.

Mais vous vous retrouvez devant des centaines d’articles sans savoir ce qui est judicieux d’acheter ou non. Même si acheter un panier, une laisse et des gamelles paraît évident, faire des choix quand vous ne connaissez pas votre chiot n’est pas chose facile. Je vais donc vous donner quelques conseils.

Dans un premier temps, n’achetez pas de trop.

C’est lorsque votre chiot sera là et que vous pourrez l’observer que vous comprendrez ce dont il a besoin, ce qu’il apprécie.

Préparez son environnement. Un chiot, ça fait pipi très régulièrement et ça peut mettre les dents sur vos affaires. Il est donc important d’enlever tout ce qui a de la valeur pour vous et qui est à portée du chiot. On remettra ces objets une fois la phase chiot finie, quand vous serez sûr qu’il n’y a plus de risque.

Des jouets oui, mais pas que. Achetez quelques jouets de matières différentes pour que votre chiot puisse avoir le choix. Évitez d’acheter 5 peluches, mais prenez plutôt un jouet en bois, un en tissus, un en caoutchouc mou et un plus dur. Une fois chez vous, vous pourrez déterminer les matières qu’il préfère afin de renouveler les stocks.

Des friandises naturelles à mâcher, rien de mieux pour qu’il fasse ses dents et laisse vos affaires tranquilles !

Le premier trajet

Le jour-J est arrivé. Vous allez chercher votre chiot. Le trajet peut parfois être très long si vous devez traverser le pays pour le ramener chez vous, c’est pourquoi il faut se préparer à toute éventualité.

Le trajet est quelque chose qui peut être très stressant pour votre chiot. Afin qu’il soit le plus rassuré possible, le mieux est d’être au moins deux pour le trajet : un qui conduit, l’autre qui garde le chiot tout près de lui.

Les premiers apprentissages

Dès son arrivée chez vous, votre chiot va enregistrer tout un tas d’informations, et ce, sans que vous vous en aperceviez. En effet, il va observer minutieusement son environnement et apprendre en testant tout un tas de comportements. Sa curiosité naturelle va l’amener à mordiller les objets qu’il trouve et décidera de ceux qui sont intéressants ou non. Il écoutera attentivement les bruits qui l’entourent et reconnaitra progressivement les bruits familiers ou non. Il observera vos réactions dans chaque situation et adaptera son comportement en conséquence.

Ensuite, laissez-le découvrir son nouvel environnement tranquillement sans trop le stimuler pour qu’il puisse observer ce qui l’entoure.

La première nuit

Une des questions les plus fréquentes est 2« où dois-je faire dormir mon chiot ? ». À cette question, j’ai envie de répondre que peu importe où vous souhaitez qu’il dorme, les premières nuits sont cruciales et votre chiot aura besoin de présence. Il vient de quitter brutalement sa mère et sa fratrie pour la première fois et se retrouve dans un lieu inconnu avec des humains inconnus eux aussi.

La propreté

C’est souvent le premier comportement que nous devons apprendre à nos chiots.

Évidemment, un chiot de 2 ou 3 mois ne connaît pas la propreté en arrivant chez vous. Vous allez donc devoir lui montrer que les besoins se font dehors.

Les mordillements

Les mordillements sont sources de questionnements chez les propriétaires.

Voyant leur gentil chiot se transformer en lion féroce, ils se demandent s’ils ne vont pas finir par réellement les manger ! Alors, rassurezvous, ce n’est pas parce que votre chiot vous mordille et qu’il fait mal qu’il va développer des comportements agressifs.

Durant cette période, il y a trois choses importantes à faire :

Lui proposer des objets intéressants à mâchouiller (jouets de différentes matières, friandises naturelles, jeux d’occupations,etc.),

Lui faire rencontrer des congénères adultes équilibrés qui vont lui apprendre à jouer de manière modérée,

Intervenir, mais ne pas surréagir lorsqu’il mordille, que ce soit vous ou vos meubles.

La socialisation

C’est et ça restera un point clé du développement chez le chiot. Avant 3 mois et demi, votre chiot doit découvrir le monde qui l’entoure et les bruits qu’il sera amené à rencontrer dans sa vie d’adulte.

La solitude

Dans notre société, les chiens doivent apprendre à rester tranquille dans nos maisons pendant que nous travaillons ou que nous nous absentons, même de courts moments. Il n’est pas permis qu’ils provoquent des nuisances pour les voisins, c’est pourquoi il est important d’aider nos chiens à rester seuls.

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Premiers mois du chaton à la maison

Accueillir un jeune félin chez soi n’est pas toujours de tout repos ! Que l’arrivée ait été planifiée depuis plusieurs mois/années ou pas vraiment prévue, il faut dans tous les cas s’organiser pour accueillir au mieux ce nouveau membre de la famille.

Installation avant l’arrivée

Il est important que tout soit prêt et ordonné avant l’arrivée d’un chaton. Celui-ci va en effet vivre un grand changement et doit donc être accueilli dans les meilleures conditions possible. Il faut avant tout se procurer plusieurs affaires indispensables pour les chats. Ensuite, trouvez-lui une pièce rien qu’à lui afin de le laisser découvrir son nouveau territoire sans avoir trop d’informations à gérer. Il aura besoin d’un coussin bien moelleux et confortable et de gamelles pour les croquettes et l’eau (ou une fontaine).

Pour ses besoins, il lui faut une litière avec du substrat : privilégiez toujours des granulés écologiques plutôt que chimiques. En effet, en plus d’être meilleurs pour la planète, ils le sont aussi pour la santé de votre nouveau compagnon. Une fois que le côté hygiène est réglé, vous pouvez installer des jouets variés, un grattoir et un arbre à chat. De plus, il doit pouvoir grimper et se dépenser correctement pendant ses premiers jours avec vous (et tout au long de sa vie).

Premier jour avec votre chaton

C’est le grand jour, votre chaton arrive à la maison ! Si vous êtes un peu stressé, sachez que lui aussi. Bien que vous ayez très certainement envie de passer tout votre temps avec lui, il est essentiel de le laisser un peu seul. Cette étape lui permet de découvrir à son rythme son nouvel environnement, sans avoir trop d’informations directement.

Les premiers pas en autonomie

Une fois l’étape de l’environnement restreint passée, vous pouvez élargir sa zone de découverte. Ainsi, laissez-le visiter toute la maison à son rythme. Veillez toujours à ne rien avoir de dangereux à portée de patte. Certains aliments et produits sont très toxiques pour nos animaux, il faut les mettre hors d’atteinte.

Il est recommandé de jouer et de passer du temps avec lui de manière à ce qu’il prenne confiance en vous. Par la suite, votre chaton pourra vous suivre tout en découvrant les pièces de la maison.

Rencontre avec un autre compagnon

Il est possible que votre nouveau compagnon ne soit pas le premier animal de votre maison. Pas de panique, la cohabitation avec un chaton est souvent plus facile qu’avec un chat adulte. En effet, ils sont naturellement plus curieux et moins méfiants. Ils vont donc plus spontanément à la rencontre d’autres animaux. Toutefois, ne les brusquez pas et laissez-leur le temps de s’apprivoiser.

Cela doit se dérouler progressivement. Pour cela, il faut en parallèle préparer votre autre animal à l’arrivée du chaton. Il est recommandé de montrer les nouveaux jouets à l’animal déjà présent afin qu’il se familiarise à l’odeur.

Après 30 jours

Une fois le premier mois passé, votre compagnon devrait être à l’aise dans sa nouvelle maison. Il devra savoir où sont ses toilettes et ses gamelles. Cependant, il est normal qu’il fasse quelques bêtises et qu’il ne soit pas forcément très propre au début. Il faut être patient et prendre beaucoup de temps avec lui. De plus, variez ses jouets et veillez à ce qu’il puisse grimper et se cacher autant qu’il le souhaite. Il est indispensable qu’il se sente bien et qu’il ait suffisamment de distractions pour ne pas s’ennuyer.

Bien entendu, il est essentiel de donner autant d’attention à votre chaton qu’à votre autre animal de compagnie. Votre petit matou va continuer à prendre ses marques au fil du temps. Il est donc important d’être patient et de ne jamais le forcer pour quoi que ce soit.

Votre chien mâchouille vos affaires

Si votre chien mâchouille vos chaussures c’est qu’il n’a rien d’autre. Offrez lui alors des jouets en conséquence, à mâchouiller.Il lui faut plusieurs jouets et attrayants pour qu’il délaisse votre paire de chaussure préférée.Par contre, lorsque vous lui offrez un nouveau jouet, faites attention qu’il ne puisse pas avaler des morceaux de plastiques lorsque vous les acheter.Vous pouvez également mêler jouets et nourriture, notamment avec les jouets de type KONG ou pipolino où l’on place de la nourriture à l’intérieur.Lorsqu’il verra qu’en mâchouillant ses jouets, il obtient de la nourriture et pas en mâchouillant vos chaussures, votre paire de chaussures préférée n’aura plus rien à craindre.Un chien qui passe son temps à mâchouiller, est un chien qui ne se dépense pas assez. Sortez davantage votre boule d poils et veiller à ce qu’il se dépense suffisamment au point de délaisser vos chaussures quand vous rentrez à votre domicile.Vous pouvez également mettre votre odeur sur ses jouets afin de l’attirer, notamment en plaçant un de ses jouets dans une de votre chaussure toute la nuit.En dernier recours, vous pouvez dégoûter votre chien de vos affaires en les aspergeant d’odeur qu’il déteste comme le vinaigre blanc, poivre ou huile essentielle de citron.Si vous avez besoin de mes services je reste à votre disposition;moovnaturopattes@gmail.com moovnaturopattes.fr 06 52 97 52 25#comportementaliste #comportementalistecanin #comportementalistefelin #comportementfélin #comportementcanin #educationcaninebienveillante #educationpositive

La promenade de nos chiens

C’est bien connu, les chiens adorent la promenade. Avec ou sans laisse, ils montrent toujours un grand enthousiasme à sortir prendre l’air. L’exercice physique est important pour le bien-être et la santé de votre animal.

Les bénéfices de la promenade

La promenade représente avant tout le moyen le plus évident pour votre chien de faire de l’exercice physique. Il marche, renifle, court et joue. Autant d’activités qui lui permettent de dépenser de l’énergie. Le temps consacré à la balade est positif pour votre animal, autant sur le plan psychologique que physique. Ce moment partagé entre le chien et son propriétaire contribue à renforcer les liens au quotidien.

En se promenant, votre chien multiplie les interactions avec les humains et ses congénères. Il reste alerte, fait connaissance avec de nouveaux amis et se frotte à tout moment à de nouvelles expériences, comme la rencontre avec un pigeon ou un enfant en trottinette. Ces expériences participent à sa socialisation et à son bien-être.

Promenade en laisse

En nylon, en cuir ou en métal, et susceptible d’atteindre une longueur de trois mètres, la laisse fait partie des accessoires indispensables à la promenade. Son choix dépend de différents facteurs, dont la taille et le comportement de l’animal.

Si vous devez garder votre chien près de vous en sortie, je recommande une longueur de laisse d’un à deux mètres environ en ville. Sinon optez pour une longe de 10m lorsque les conditions le permettent. Si vous avez un gros chien, cette longueur de laisse vous permet de réagir rapidement, même lorsqu’il décide de changer de rythme sans crier gare. Lorsque votre animal tire sur sa laisse, vous pouvez contrôler ses mouvements. Ce type de laisse s’avère aussi pratique pour une balade dans la rue en toute sécurité, ou pour apprendre à votre chien à marcher à côté de vous.

Promenade en semi-liberté

Le chien n’est pas fait pour être sous contrainte lors de ses déplacements, donc afin de donner un peu plus d’autonomie à votre chien, tout en gardant un certain contrôle, vous pouvez utiliser une longe. D’une longueur supérieure à trois mètres, elle peut aller jusqu’à 20 mètres.

La promenade en semi-liberté avec une longe se présente plutôt comme un moment pédagogique. Elle intervient dans l’apprentissage essentiel du rappel et la mise en place progressive du suivi naturel. Cet outil crée un environnement confortable pour votre chien comme pour vous. L’animal ne se sent pas limité ou restreint par une laisse, et se montre plus à l’écoute.

Promenade sans laisse

Avant de laisser votre chien gambader librement, mieux vaut consulter la réglementation du lieu où vous vous trouvez, en particulier les arrêtés municipaux existants. En zone urbaine, pour respecter la loi, votre animal n’a pas d’autre choix que d’accepter la laisse.

Si votre chien peut courir sans laisse sur les chemins forestiers, il convient d’être particulièrement prudent en période chasse. De même, pour ne pas perturber la faune, il vaut mieux éviter de le laisser librement dans un marais, un champ ou à proximité d’un plan d’eau.

La promenade en liberté exige une bonne maîtrise de votre animal. En particulier, il est préférable de s’assurer qu’il répond bien au rappel

Précautions à prendre

Votre chien a acquis le rappel et répond à tous les ordres de base. Félicitations ! Afin qu’il vous entende à tout moment, il doit rester à portée de voix. tails.com vous recommande de vous méfier des :

  • voitures
  • animaux sauvages lorsque vous êtes à la campagne
  • autres chiens. Tous ne sont pas forcément bien dressés ou sociables et, comme pour tout être vivant, leurs réactions (et celles de votre animal) restent imprévisibles.

Emmener votre chien en balade est indispensable à son bien-être et au vôtre. Selon le caractère, les capacités et le comportement de votre animal, il existe des précautions à prendre pour s’assurer que la promenade reste un moment agréable et bénéfique.

Votre chat élimine hors bac?

Avant toute chose, il faut consulter votre vétérinaire pour écarter infection urinaire et insuffisance rénale.

Qu’est ce que l’insuffisance rénale? Je vous explique tout:

L’insuffisance rénale chronique est une maladie qui affecte les reins de l’animal et qui est particulièrement courante chez les chats âgés. Même si elle est incurable, plus elle est repérée tôt, plus le chat a des chances de vivre longtemps.

L’insuffisance rénale chronique, qu’est-ce que c’est ?

L’insuffisance rénale chronique est une défaillance des fonctions rénales du chat. Le rein est détruit peu à peu. Or, les reins jouent un rôle majeur chez le chat puisqu’ils sont chargés d’éliminer les déchets (toxines) produits par l’organisme. S’ils ne fonctionnent plus, les toxines s’accumulent dans l’organisme et le chat s’auto-intoxique.

Les causes de l’apparition d’une insuffisance rénale chez le chat sont nombreuses : maladie génétique, infection rénale, calculs dans les reins, tumeurs rénales… Mais la cause la plus fréquente est le vieillissement des reins. En effet, l’insuffisance rénale chronique apparaît le plus souvent chez les chats âgés, chez qui elle représente la seconde cause de mortalité.

Les symptômes de l’insuffisance rénale chronique chez le chat

En cas d’insuffisance rénale chronique, le chat présentera les symptômes suivants :

forte envie de boire
urines plus fréquentes
poil terne
perte d’appétit
amaigrissement
mauvaise haleine
diarrhées et vomissements

Ainsi, si vous observez un ou plusieurs des symptômes ci-dessus, rendez-vous chez le vétérinaire.

Si suite à votre consultation chez le vétérinaire, votre chat ne souffre ni d’infection urinaire ni d’insuffisance rénale c’est que l’élimination hors bac est comportementale.

L’hiver arrive

L’hiver approche!!

Effectivement nous sommes en automne et le froid de l’hiver arrive.
Nous, humains sommes sujets à divers rhumes, bronchites et rhinopharyngites.

Et ben nos boules de poils pareil.
Et oui ils peuvent s’enrhumer.

C’est pourquoi il est important, pour les plus faibles, mais aussi pour les autres de booster leur système immunitaire.
Nous, naturopathes animaliers, sommes là pour cela, et sommes à votre service pour vous accompagner.

Si malgré tous les soins et le confort que vous leur apporter ils s’enrhument néanmoins, nous pouvons vous apporter une solution naturelle pour les aider que ce soit à l’aide de l’aromathérapie, la phytothérapie, la gemmothérapie ou l’homéopathie.

N’hésiter pas à nous contacter si vous désirez notre aide.
Moov&naturopattes

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moovnaturopattes@gmail.com

0652975225

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Nouveau patient

Hadès stress et hyperattachement.

Hadès a perdu sa sœur il y a 3 ans d’un retournement de l’estomac.

Depuis, il a reporté son attachement sur son humaine, se sentant très mal lorsque celle s’absente, allant jusqu’au vomissements.

Un traitement d’homéopathie et de fleurs de bach est mis en place avec une rééducation à l’absence progressive de son humaine.

Diabète du chat : comment le repérer

Le diabète du chat : qu’est-ce que c’est ?

Le diabète félin est similaire au diabète humain de type 2. Et il toucherait 1 chat sur 500.

Le diabète sucré est dû à une difficulté à assimiler le sucre dans le sang. Ceci est provoqué par un défaut d’insuline qui entraîne petit à petit une augmentation du taux de glucose dans le sang.

On parle alors d’hyperglycémie constante. Celle-ci peut être mortelle si elle n’est pas prise en charge à temps. Sachez également qu’il existe différentes formes de diabète. C’est pourquoi la prise en charge s’accompagne d’analyses afin de déterminer le bon dosage du traitement.

Le diabète de type I ou “diabète juvénile” : il touche principalement les jeunes chats et résulte d’un défaut précoce de sécrétion de l’insuline par le pancréas. C’est un diabète dit “insulinodépendant”.

Le diabète de type II ou “diabète gras” : dans ce cas, le taux d’insuline dans le sang est normal ou a augmenté. Il résulte d’un défaut d’action de l’insuline. C’est un diabète dit “non-insulinodépendant”.

Le surpoids et l’obésité ainsi qu’une mauvaise alimentation sont très souvent les facteurs précurseurs de cette pathologie. Mieux nourrir son chat en croquettes de qualité et bien surveiller les quantités données sont deux éléments clés permettant déjà de faire des miracles.

Le diabète de type III ou “diabète maigre” : ici, le taux d’insuline dans le sang est abaissé. C’est généralement l’évolution d’un diabète de type II mais il peut également être la conséquence de maladies du pancréas, comme une inflammation ou une fibrose.

Symptômes du diabète chez le chat

Différents signes cliniques doivent vous alerter quant au diabète. C’est pourquoi il est très important de rester attentif à votre chat et à ses besoins. Un changement de comportement ou d’habitudes alimentaires est souvent annonciateur de trouble de la santé. Ici, la liste des symptômes dont peut souffrir un chat diabétique : Il boit beaucoup : on parle alors de polydipsie. Le chat boit beaucoup d’eau car il tente de diluer l’excès de glucose présent dans son sang. Il urine beaucoup : c’est la polyurie. Ceci est lié au fait que le chat s’hydrate plus que la normale. Le chat a généralement plus d’appétit : on parle de polyphagie. Paradoxalement, votre chat perdra du poids en raison de la mauvaise répartition du glucose. Enfin, votre chat risque fort d’être abattu et d’avoir le poil terne.

Pour information, il existe un autre type de diabète, beaucoup plus rare, qui est lui lié à un mauvais fonctionnement de la glande hypophyse. Autrement dit, le chat souffre d’un dérèglement hormonal. On parle alors de diabète insipide.

Si vous constatez l’un ou plusieurs de ces signes chez votre chat, c’est peut-être le signe qu’il est atteint de diabète et qu’il nécessite une prise en charge. Contactez rapidement votre vétérinaire afin d’en avoir le coeur net et de soulager votre compagnon.

Prise en charge et traitement du diabète chez le chat

Une fois chez votre vétérinaire, celui-ci pratiquera un examen général poussé de votre chat, complété par des analyses d’urine et de sang. Elles permettront au spécialiste d’écarter dans un premier temps toute autre maladie, puis d’évaluer le taux de sucre dans le sang de votre chat (glycémie), dans le cas du diabète.

Le plus souvent, le vétérinaire garde le chat en observation durant une journée.

L’alimentation d’un chat diabétique doit être faible en sucres et mauvaises graisses. Elle doit en revanche contenir une grande quantité de protéines très digestes. Un animal diabétique doit recevoir le moins de glucose possible : la teneur en glucides et en amidon de l’aliment doit donc être réduite au minimum. Moins de 20 % chez le chat.

De même, mieux vaudra limiter les graisses pour limiter les risques de stéatose hépatique.

L’aliment donné devra donc être hyperprotéiné. Ce type d’aliment va en plus faciliter la perte de poids des animaux trop gros tout en permettant de conserver leur masse musculaire.

Si vous êtes plutôt Ration Ménagère, demandez conseil à votre vétérinaire afin de mettre en place des repas adaptés à l’état de santé de votre chat.

Les animaux diabétiques doivent recevoir leur nourriture en plusieurs petits repas (au moins 4 à 6 pour nos félins de compagnie) aux mêmes heures – corrélés aux injections d’insuline.

En terme de compléments : les acides gras essentiels omégas 6 et omégas 3 sont à privilégier notamment l’acide Gamma-Linoléique (pour les W6) via l’huile de bourrache ou d’onagre et les huiles de poissons.

L’apport de fibres solubles et insolubles via le psyllium blond pour son chat et les légumes (les courgettes sont le top) est souvent préconisé pour permettre de contrôler la sensation de satiété de l’animal ainsi que sa glycémie.

Si vous avez opté pour les croquettes, assurez-vous dans un premier temps qu’elles soient de bonne qualité, modérées en matières grasses (moins de 16 %) et très riches en protéines (plus de 38 %).

Les différentes marques de croquettes pour chat disponibles dans le commerce proposent de nombreuses gammes d’alimentation adaptée à des chats diabétiques. Ici encore, demandez conseil à votre vétérinaire.

Pensez-aussi aux pâtées complètes ! Riches en eau et en produits animaux, les pâtées pour chat ont l’avantage d’être bien plus faibles en glucides que les croquettes.

Votre naturopathe animalier peut également agir avec de l’homéopathie et des plantes.

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Pensez aussi à ma partenaire :

Le stress chez nos compagnons

Le stress chez nos boules de poils

Nos amis à quatre pattes, même s’ils n’ont pas la routine métro boulot dodo, peuvent ressentir anxiété et stress. Très sensibles sur le plan émotionnel, les influences de leur environnement peuvent nuire à leur santé et leur bien-être. Votre animal envoie des signaux en permanence, à vous de les voir !

Pourquoi mon animal est stressé ?

Plusieurs situations peuvent être à l’origine du mal-être de votre compagnon à quatre pattes :

• interactions sociales négatives et environnement hostile, sentiment de solitude,

• conditions physiologiques : faim, soif, maladie, douleur,

• activités trop intenses,

• dressage trop autoritaire,

• bruits intempestifs.

• Physique – en raison de la fatigue ou d’une blessure

• Physiologique – due à la faim, à la soif ou au contrôle de la température

• Comportemental – dû à l’environnement ou à des personnes/animaux non familiers

Les facteurs ou déclencheurs sont appelés “facteurs de stress” et peuvent varier d’un bruit inconnu à un environnement surpeuplé. Il est important de comprendre la cause profonde du stress afin d’en atténuer l’impact sur l’animal.

Le stress physique et physiologique peut être facilement géré en fournissant aux animaux une alimentation adéquate et un traitement médical si nécessaire, mais le stress comportemental nécessite un examen plus approfondi afin de déterminer les facteurs de stress qui peuvent les affecter. Bien que de nombreux animaux soient capables de tolérer un seul facteur de stress pendant une courte période sans aucun impact, des facteurs de stress multiples sur des périodes prolongées peuvent entraîner détresse et souffrance.

Pour le stress comportemental, il est important d’examiner les facteurs qui peuvent contribuer à la cause profonde et de les ajuster si nécessaire pour améliorer les conditions de vie des animaux. Les facteurs suivants sont connus pour affecter les animaux en production :

• Climat – températures irrégulières, courants d’air chauds ou froids excessifs

• Surpeuplement – espace trop petit pour le nombre d’animaux placés

• Environnement inhabituel – nouveau lieu ou cadre différent de l’environnement précédent

• Bruit non familier – nouveau son, volume du son ou durée du son

• Personnel peu familier – changement d’employés ou de manutentionnaires

• Procédures peu familières – vaccinations, alimentation ou voyages, etc.

Un animal stresse quand il est confronté à une agression sur le plan physique ou psychique. Il réagit de la même façon que vous quand vous devez préparer un examen ou un entretien important. Il montre des signes physiques que vous pouvez discerner pour juger de l’état mental de votre bête.

Les principaux symptômes sont faciles à détecter : votre animal à tendance à respirer plus rapidement, comme s’il était agité, et à transpirer des pattes. Comme l’Homme, l’animal stressé peut être atteint de diarrhée ou de vomissements et être victime de tremblements ou, au contraire, de rigidité. Il peut également faire ses besoins à des endroits inhabituels, même si l’animal est dressé.

Le stress peut avoir des répercussions sur le plan comportemental. L’animal montre souvent des signes d’hyperactivité, au point de se secouer sans raison apparente, de se mordre la queue ou de s’auto-mutiler. Un point important qu’il faut connaître, le manque d’attention n’est pas toujours un signe de désobéissance : il peut s’agir du stress.

Pourquoi mon animal stresse-t-il ?

Il existe plusieurs facteurs de stress pour votre compagnon. Ils engendrent tous un changement psychologique et corporel. Votre compagnon se sentira vulnérable, peut-être agressé, en tout cas en danger. Pour autant, votre compagnon n’est pas forcément anxieux. Il peut vivre, au cours de sa vie, plusieurs moments de stress sans qu’ils installent l’anxiété comme maladie pure.

Cette dernière est l’addition de plusieurs stress qui trouvent tous leur cause dans un passé plus ou moins lointain de votre compagnon. Son éducation peut être remise en question. La façon de s’adresser à lui aussi, de le punir. Son quotidien doit être revu. En règle générale, les facteurs du stress sont :

• Des changements de routine, au sein de la famille, qui engendrent un dérèglement dans le quotidien de votre compagnon. Ce dernier ne comprend pas et va se mettre à s’angoisser. Le changement de routine peut aussi concerner son alimentation.

• La peur de la séparation. Votre compagnon ne va pas savoir gérer vos absences, l’éloignement. Il perd petit à petit ses repères.

• Des bruits inhabituels comme des claquements de pétard, l’orage, des coups de feu.

• L’éducation avec une mauvaise socialisation. Une fois plus grand, votre compagnon peut connaître des moments de panique en voyant du monde.

• Un sentiment d’insécurité.

• Un traumatisme lié à son enfance.

• La génétique peut également avoir de l’influence.

Les manifestations du stress

Le stress cause de multiples réactions. Qu’elles soient d’ordre physique ou psychologique, elles doivent toutes être prises au sérieux. La liste n’est pas exhaustive, comme les humains, chaque animal a sa propre manière d’exprimer son anxiété :

• Votre compagnon fait preuve d’un manque d’hygiène ou d’un comportement destructeur. Il détruit votre canapé, il mange vos chaussons, il fait des trous dans le mur…

• Votre compagnon fait preuve d’une hyperactivité. Il surréagit à ce qui l’entoure. Il est également enclin à faire les 100 pas en votre absence. Il aboie plus fréquemment. L’hypersalivation est également un signe.

• Le rythme cardiaque de votre compagnon augmente considérablement. La fréquence de ses halètements est en hausse.

• Il est sujet à des diarrhées ou à des vomissements.

• Il demande constamment de l’attention de votre part.

• Son horloge interne est chamboulée. Il pourrait manquer de sommeil, devenir boulimique ou, au contraire, anorexique.

• On constate aussi souvent une dilatation de ses pupilles.

Comment gérer son stress ?

Comme bien souvent, votre chien a besoin de stabilité dans sa vie quotidienne. Ainsi, vous devrez ramener un certain ordre. Vous pouvez par exemple lui faire faire davantage d’exercice physique, ou bien l’emmener plus souvent se promener. Vous devez vous occuper de votre compagnon pour réduire le stress.

Néanmoins, vous devez en priorité conduire votre compagnon chez son vétérinaire et un naturopathe animalier. Ce dernier sera le plus à même de définir l’origine de l’anxiété de votre compagnon . Si votre compagnon est en bonne santé, il suspectera davantage un problème comportemental et vous pourrez vous diriger vers un comportementaliste et un naturopathe animalier, les deux étant complémentaires.

Il se peut que votre compagnon souffre d’abandon. Dans ce cas, il faudra lui montrer que vous vous absentez et que cela est normal. Pour ce faire, quittez votre domicile avec naturel et revenez en l’ignorant tant qu’il vous fait la fête. Il faut aussi éviter tous les éléments habituels du départ qui peuvent être source de stress (prise des clés, mettre son manteau devant lui…). Peu à peu, il va intégrer que votre absence est normale et qu’il peut profiter de vous lorsque c’est le moment.

Les solutions pour l’apaiser

Il existe différentes solutions naturelles pour apaiser votre chien. Vous pouvez lui donner des Fleurs de Bach, quelques gouttes dans sa nourriture, afin de l’apaiser. Lui administrer des massages avec cette huile donne aussi de bons résultats pour cela votre naturopathe animalier peut vous aider.